C’est une histoire de verre. A moitié vide, ou à moitié plein, selon le bout de la lorgnette par lequel on veut bien prendre les choses. Au moment où « le mois le plus long » tire enfin sa révérence, tout le monde ou presque semble s’être réjoui d’avoir traversé ce janvier de tous les dangers (surtout financiers) et de réellement commencer à s’enjailler de la nouvelle année, sur le tout mimi et court février. Mais a-t-on vraiment fait le bon calcul ?
Janvier le mal-aimé a beau être honni de tous et partout, au moins c’est un mois où on vous laisse tranquille. Même ceux qui ont «un peu», on ne les dérange pas, parce qu’on sait que c’est dur chez tout le monde. Alors que février, lui, commence à peine qu’une première «fête» est déjà à cocher sur le calendrier. Depuis le début de semaine et jusqu’à mardi prochain, la jeunesse triomphante, avec tout son décorum d’activités, a lancé son train d’enfer.
Et ceux qui ont de nombreux enfants, vont vite sentir la douloureuse passer. Ils n’auront pas de temps de répit, qu’il faut déjà ensuite penser au conjoint, Valentineries oblige ! Et si de surcroit vous êtes un homme, vous n’êtes pas sortis de l’auberge. Vous avez remarqué que les pagnes du 8 mars ont déjà commencé à circuler non ?