Au moment où nous mettions sous presse, le dernier carré de la Coupe du Monde était intégralement européen. Une particularité de plus de cette coupe du monde, qui n’a cessé de réserver des surprises. Quels autres faits majeurs auront marqué celle-ci ? Nous avons recensé quelques-uns.
LA MALEDICTION DES TENANTS DU TITRE
Elle aura été plus forte de que l’Allemagne. Comme la France en 2002, l’Italie en 2010 et l’Espagne en 2014, l’équipe a pris la porte du Mondial dès la phase de groupe, alors qu’elle était tenante du titre. Cela n’était pas arrivé depuis 80 ans.
LE VAR A PRIS LE POUVOIR
Utilisé pour la première fois en coupe du monde, l’arbitrage vidéo a influencé le jeu. Si elle a fait l’objet de nombreuses critiques, elle a pourtant été sollicitée à chaque fois que le doute planait sur une action. Les arbitres, premiers concernés par cette révolution assurent que leur nouvel outil est un atout.
NEYMAR QUI ROULE
Si la star du Paris-Saint- Germain fait lever les foules, il aura surtout fait élever les voix des passionnés de football pour railler sa faculté à en rajouter à chaque faute qu’il a subit. Ceci en se roulant par terre de longues secondes voire des minutes. A défaut d’être le meilleur buteur de la compétition, il en ressort le meilleur « rouleur ».
Le flop de l’Espagne Championne du monde 2010, invaincue depuis deux ans, l’Espagne faisait figure de candidate légitime au sacre final pour la dernière grande compétition de son chef d’orchestre, Andrés Iniesta. Raté : la Roja a été piteusement éliminée par la sélection russe, que pas grand monde ne voyait atteindre les huitièmes de finale.
HARRY KANE, JOUEUR VEDETTE
Le buteur de Sa Majesté a marqué son sixième but en trois matchs seulement, égalant le record de Gary Lineker sur une compétition entière. C’est le meilleur réalisateur du tournoi, devant le Belge Romelu Lukaku (4) et le Portugais Cristiano Ronaldo (4, mais éliminé).
LA RUSSIE ELIMINEE, MAIS FIERE
Si elle n’a pas atteint les demifinales, c’est pourtant la tête haute que l’équipe va quitter le tournoi.
