La commune regorge de nombreuses potentialités forestières, fauniques, minières et agricoles.

Gari-Gombo a toutes les dispositions naturelles, pour son essor. L’une de ses richesses, c’est cette vaste et abondante forêt. Les 5500 km² de superficie sont quasiment forestiers. Ce n’est d’ailleurs pas un fait du hasard, si des sociétés d’exploitation forestière se sont installées dans le coin. La faune est une autre richesse. Des espèces rares comme les éléphants y sont identifiées. Les pachydermes font souvent l’objet de braconnage de temps en temps.

Gari-Gombo, érigée en arrondissement depuis 1992, est par ailleurs assise sur une mine d’or. Par ailleurs, l’activité agricole y est bien développée. Avec un point d’honneur sur les produits de rente et vivriers sur des vastes étendues de terre. Comptant plus de 25 mille âmes, Gari- Gombo est à proximité de la Centrafrique.

Le marché frontalier est une aubaine pour les échanges commerciaux. C’est également un véritable vecteur d’intégration. Les Centrafricains viennent faire leurs emplettes ici. C’est une terre où les peuples autochtones constitués des Mpiemo, Yanguerés, Kako, Baka, vivent en paix avec des réfugiés centrafricains. Ils ont trouvé refuge ici à la suite de la crise sociopolitique dans leur pays.